L'UMP fait son cinéma.

Chers lecteurs et chères lectrices dans cet article je ne vais pas faire dans la dentelle. Je critique souvent la gauche par leur manque de compétence, de logique et de clarté. Mais allons à droite. Depuis hier soir, François Fillon, ancien chef du gouvernement sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, et Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, se battent comme des chiens pour savoir qui a été élu comme nouveau président du parti. Nous allons donc dans cet article poser une critique sur leurs campagnes et sur la conséquence que cela peut amener, mais aussi une solution qui sera très contestable.

François Fillon est le moins critiquable dans l'histoire mais n'en reste pas moins fautif d'une telle mascarade tout comme son camarade Copé, dû aux piques lancés contre ce dernier, c'est ensuivit une hausse perpétuelle de la tension entre les deux candidats. Sa campagne est, cependant, restée très correct, sans débordement mais peut-être avec un manque de charisme, qui peut se faire sentir, car même si il a été chef du gouvernement, monsieur Sarkozy a fait ce qu'on appelle de l'hyper présidentialisme. Cela a donc fait passer Fillon au second plan. 

Pour Jean-François Copé et sa droite "décomplexée", il fait passé l'UMP comme un regroupement de racistes car pour les partisans de Copé, disons le clairement, une droite "décomplexée" est une droite qui ose dire les choses, mais de quels genres ? Dans le Petit Journal (émission diffusée sur Canal +) on peut y voir à un meeting de Copé, des partisans définir ce qu'est pour eux la droite dite "décomplexée", et presque tous répondent que c'est le fait de parler "d'immigration, et tant d'autres exemples que cela en serait trop long à tous les citer". Certes la question d'immigration fait beaucoup parler mais autres choses, et je tiens à le dire à Monsieur Copé, font beaucoup parler d'elle, comme par exemple la question de l'économie non ? Ou alors s'opposer à la gauche et continuer à montrer au français que seul l'UMP peut remonter le pays ? 

Nous avons donc vu que les deux candidats ont chacun un côté contestable, mais la n'est pas la question. J'ai résumé leur campagne pour en venir à deux points essentiels, dont le premier est une question simple : pourquoi se faire une telle guerre et montrer de telles divergences sur la future politique pour l'UMP alors que le seul ennemi devrait être la gauche ? Et cet ennemi reste vainqueur de cet mésentente entre les deux candidats, car cela divise l'opposition, de ce fait il règne tranquillement et répond parfaitement au proverbe : "diviser pour mieux régner"

Un autre point essentiel : l'élection du président de l'UMP... Et là c'est du grand n'importe quoi. Si on en croit les deux candidats le parti n'aura pas un, mais deux présidents. Et oui les deux candidats se sont déclarés vainqueur sans attendre le résultat officiel qui doit être donné par la commission du parti. 

Pourquoi une attente aussi longue des résultats ? Car les deux candidats dénoncent des irrégularités dans le comptage de voix.

Avec tout cela : divergences dans les discours, pique de l'un sur l'autre et vice-versa, fiasco lors de l'élection, comment peut-on continuer à parler d'unité politique au sein même de l'UMP, et parler de famille politique ? De plus on peut rajouter que cela discrédite complètement ce parti tout comme la fait le PS au congrès de Reims en 2008 où une guerre similaire avait éclaté. 

Venons-en à la solution.  Pour éviter une divergence pareille qui mène à un tel cinéma comme on peut le voir aujourd'hui, il faut que le président à l'heure où il doit quitter son poste, nommer son successeur. Les pro-démocrates diront que cela n'est pas juste mais cela éviterait tout le fiasco que l'on connait et ne discréditera pas le parti.

Loi n°57-298 du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique.
Art 1er "L'auteur d'une oeuvre de l'esprit jouit sur cette oeuvre, du seul fait de sa création, d'un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous.

Ce droit comporte des attributs d'ordre intellectuel et moral, ainsi que des attributs d'ordre patrimonial, qui sont déterminés par la présente loi.

L'existence ou la conclusion d'un contrat de louage d'ouvrage ou de service par l'auteur d'une oeuvre de l'esprit n'emporte aucune dérogation à la jouissance du droit reconnu par l'alinéa premier."

Art 2 "Les dispositions de la présente loi protègent les droits des auteurs sur toutes les oeuvres de l'esprit, quels qu'en soient le genre, la forme d'expression, le mérite ou la destination."